Par William Jeffrey Navarro
Nouveau jour, même chambre noire, mêmes visages familiers, mêmes destinations
Entré dans la bête mécanique sans ses chevaux, porté au siège du jugement une fois de plus
Temporairement protégé par le cadre en plastique brillant, assez solide mais fragile tout au long néanmoins
Inspectant le feuillage rosissant spontané, les oiseaux qui volent, la lumière du jour, rechercher le confort
Non, pas encore envie d’arriver au bout du chemin, bien trop vite, à l’affreux rond-point
Qui ne sert qu’un seul vrai but maintenant, une fois simplement un moyen de contourner le terrain du Frère
Utilisé au profit du chercheur actuel, un moyen de retour à la maison pour nourrir l’esprit, après des heures
Immergés dans les textes des maîtres, du passé, de ceux qui sont partis depuis longtemps après les morts
Envoûté par les piles de visages de morts, de Washington, de Lincoln, principalement de Benjamin
Temps, les temps des vivants sont étranges, changeants, malgré leur complaisance, avançant
Écoutant et attendant, espérant quelque chose de nouveau, ému par la promesse du salaire futur du travail
Pas moi, non, je ne suis pas touché par ces rêves- rêves qui s’estompent au retour de la raison
Ascendant au dessus, au-delà de telles attentes, confirmé dans ce moment de révélation divine
Suite à la peur, la solitude, le désespoir, là, Il s’est présenté, possédant entièrement
Constamment emprisonné, sa voix résonnante, plus forte,certains du monde de l’écran magique
Autant je ne veux pas suivre le chemin prédéterminé des ancêtres, il était là, plus puissant
Revenu de son absence, l’appel a enfin répondu, les mots que j’avais besoin d’entendre
Je n’ai jamais ressenti quelque chose comme ça, une expérience si profonde, étrange mais familière
Explique-moi, qui, quoi, où êtes-vous, voix de nombreux grands rois morts, chacun à sa manière
Soutenez-moi, influence majestueuse du passé, comme vos paroles l’ont fait jusqu’à présent
Utilise-moi, Seigneur des montagnes et de la vallée, montre-leur ce que je peux vraiment faire
Imaginez, leurs yeux, ils m’ont dit que je ne pouvais pas, en riant, eh bien regardez qui rit maintenant
Suivant ta foi, oui, ton sacrifice toujours vivant, j’ai trouvé le chemin de la clarté, je me sens vivant!
Incliné à croire, les mêmes visages que de nouvelles phases, peuvent ouvrir un cœur de pierre
Changer, ne peut pas s’estomper, ne se cassera pas, surmonter le chagrin avec toute ta force
Insistant pour sauver une vie, même si je dois tout perdre, pour devenir comme toi, un héros
Image courtesy of flickr.com
Written by Fren102
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